
Alors que la décision de confinement s’annonçait, un groupe de personnes et d’organisations a souhaité "capter à chaud" ce que la crise du coronavirus révèle, perturbe, provoque dans les systèmes alimentaires, depuis notre assiette jusqu’aux fermes d’où proviennent nos aliments, que ce soit à travers des circuits courts et locaux ou bien des chaînes d’approvisionnement lointaines. Le début d’une réflexion, d'une analyse qui devrait faire son chemin.

Face à une situation sanitaire exceptionnelle, le gouvernement est mobilisé pour "qu’à la crise épidémique ne s’ajoutent pas des drames sociaux". A la
Les villes regorgent de sols imperméabilisés confinés sous le béton, l’asphalte, les dalles ou encore le bâti. Certains de ces espaces sont techniquement en mesure de faire l’objet d’une renaturation, c’est-à-dire un retour à la pleine terre voire d’un retour à l’état naturel, agricole ou forestier.Un atelier en webconférence sur ce sujet est proposé par Marc Barra et Gwendoline Grandin, écologues de l'ARB îdF, L'Institut Paris Region, le 1er avril de 14h à 17h.


Pour ses 20 ans, la Mission Risques Naturels (MRN) lance la première édition des « Trophées Bâtiments Résilients », en partenariat avec l’Agence Qualité Construction (AQC) et Construction21, avec le soutien de la Fédération Française de l’Assurance (FFA) et du Ministère de la Transition Écologique et Solidaire (MTES). Ce concours donne l’opportunité, pour les porteurs de projet, de valoriser leurs bâtiments adaptés à un ou plusieurs aléas naturels et climatiques.
Confinés mais aux aguets ! " Tel est le défi lancé par la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) à tous les Français confinés à domicile en raison du coronavirus.
Le Centre d’études et de coopération juridique interdisciplinaire de l’université de Poitiers organisait un colloque sur la relocalisation des systèmes alimentaires. Les intervenants ont partagé un constat : les circuits courts se développent, mais des obstacles sont toujours présents.






