Un portail Parcel a été mis en service ce 10 octobre 2019 pour simuler, en quelques clics, une conversion et une relocalisation de l'agriculture et de l'alimentation à l'échelle de son choix (quartier, commune, région, etc.). Il a été développé par la fédération Terres de liens, la Fnab (Fédération nationale de l’agriculture biologique) et le Basic (bureau d’analyse sociétale pour une information citoyenne). Un outil qui peut être très utiles pour les villes qui s'orientent vers une agriculture urbaine efficiente.
Sous-catégories :
Social & santé, Ressources & recyclage, High-tech & innovation, Fermes urbaines, Biodiversité & végétalisation, Architecture & bâtiments, Alimentation & circuits courts14 villes du monde se sont engagées, ce 10 octobre, à Copenhague à respecter la Déclaration du C40 relative aux bonnes pratiques alimentaires (C40 Good Food Cities Declaration), qui vise à promouvoir et à préserver la santé des citoyens dans le monde entier, tout en protégeant la planète.
En appliquant les deux nouvelles normes volontaires de management NF ISO 37104 et NF ISO 37122, spécialement conçues pour les collectivités territoriales, les élus sont accompagnés pour tendre vers la ville durable. A quoi vont servir ces normes et comment les utiliser ?
Inaugurée en juillet 2019, l'AgroCité de Bagneux, conçue pour le réseau R-Urban et ses partenaires dont Bagneux Environnement est une proposition d'aménagement d'un site de 1600 m2 avec de l'agriculture urbaine qui inclura un RecycLab, une Ressourcerie, un FabLab, un café solidaire, des aménagements favorisant la biodiversité et la transition écologique portée par les citoyens.
L’agriculture urbaine à haut niveau technique connait un succès croissant. Mais si tous semblent séduits, chacun diverge sur sa définition comme sur ses fonctions et donc dans son approche du sujet. Une étude de l'INRA fait le point sur les représentations de cette forme d'agriculture, auprès d'acteurs dans les villes de Toulouse et de Paris.
Nous avons recensé, sur l'année 2019, plus de 200 articles sur le web et en édition papier parlant de l'agriculture urbaine, aussi bien dans la presse technique, scientifique, que la presse grand public, économique, sociale, ou grand public.
Giovanni del Brenna s’intéresse à l’agriculture urbaine depuis plus de trois ans, après l'avoir vu évoluer au Canada, aux Etats-Unis et en Allemagne, il se tourne vers la France. Ce sont alors les prémices, avec le premier appel à projets des Parisculteurs. Le photographe est allé à leur rencontre d'où en ressort une magnifique exposition, qui s'est tenue cet été 2019, sur les grilles de l'hôtel de Ville.
L’agriculture urbaine connaît un grand succès en Corée où associations et autorités dispensent des formations aux habitants intéressés. Malheureusement le manque de lieux où la pratiquer commence à freiner son développement.
Demain, un jeune agriculteur souhaite s’installer en EARL au centre d’une ville. Les conditions sont-elles les mêmes que pour un agriculteur installé en milieu rural au regard du droit rural, du droit social, du droit fiscal et du droit des sols et du droit de l’urbanisme ? Plusieurs champs d’interrogation sont à considérer.
Les installations de la société Aquaponic Management Project (AMP) à la halle Flachat à Asnières produiront 2 tonnes de truites et 4 tonnes de fruits et légumes par an.
Un des pionniers de l’agriculture urbaine aux Etats-Unis, Henry Gordon Smith (HGS) et fondateur d'Agritecture (agritecture.com) nous explique l’intérêt de l’agriculture urbaine mais aussi les freins à lever pour son développement. Alexandre Lefebvre (AL), spécialiste belge et fondateur d'Alaube, rappelle que la volonté politique doit se traduire par des résultats qui augmentent la résilience des villes. Interview des deux professionnels.
Le CESE s’est penché sur le sujet de l’agriculture urbaine et a adopté, le 12 juin 2019 son avis « L’agriculture urbaine : un outil déterminant pour des villes durables ». Une avancée pour mieux cerner le sujet et apporter un cadre et des recommandations pour le développement de cette nouvelle approche de l’agriculture.
Un bel exemple de contrainte environnementale dans la réalisation d’un chantier urbain : la promenade plantée réalisée sur le tunnel de la petite ceinture à Paris. Il a fallu respecter la vie des pipistrelles, espèce protégée. L’architecte-urbaniste a transformé cette contrainte en opportunité.
Destiné aux porteurs de projets d’agriculture urbaine ainsi qu’aux opérateurs de l’aménagement urbain, Destisol’AU, projet en pré-maturation, vise à caractériser les sols, leurs fonctions et les services écosystémiques qu’ils apportent pour concrètement orienter les formes d’agriculture urbaine et les choix d’espèces cultivables sur un sol donné. Un Outil d’aide à la décision (OAD) sera proposé aux acteurs.
Après Rome, Valence et Tel Aviv, Montpellier accueille les 7, 8 et 9 octobre prochains, la 5e édition du Pacte de Milan. D'Abidjan à New-York, Poona (Inde), Shanghaï, Moscou ou Tel Aviv, une soixantaine de villes des cinq continents ont déjà confirmé leur présence, et 25 autres pourraient les rejoindre.
Les insectes sont source de nourriture de nombreux animaux, utiles à la pollinisation et jouent un rôle de recycleurs des matières organiques. Mathieu de Flores, chargé de mission sciences participatives à l'Office Pour les Insectes et leur Environnement (OPIE) nous parle des missions de l’office et du rôle essentiel des insectes… en ville notamment.
Au 12ème étage d'un centre commercial du quartier chic de Ginza à Tokyo, laitues, romaines et batavias sont ici cultivées hors-sol, confinées dans des chambres stériles, sous les projecteurs de LED. Les 300 salades produites chaque jour alimentent la cafétéria, le restaurant, et le rayon alimentation du centre commercial.
L’association Veni Verdi crée des jardins en milieu urbain, en particulier dans les écoles, « pour agir sur l’environnement, la société et l’économie ». Nadine Lahoud, sa fondatrice et la déléguée générale de l’association, nous fait découvrir ces lieux enchanteurs et explique sa démarche et ses projets.
Christine d’Anecdotes - membre des Ateliers d’Art de France- est une conteuse en volume. De formation littéraire, passionnée par la nature et adepte du recyclage, l’artiste a d’abord couché ses histoires sur le papier avant de les conter avec ce matériau.
Véritables couteaux suisses, les microfermes urbaines regroupent souvent cultures et élevage, tout en sensibilisant les consommateurs à l’agriculture.