Le principe du bail rural environnemental repose sur l’inclusion de critères environnementaux dans un bail rural classique.
Sous l’effet de la pression sociétale sur le sujet des produits phytosanitaires, certaines collectivités commencent à s’intéresser aux Baux ruraux environnementaux (BRE) pour maîtriser les pratiques agricoles sur leur territoire. Un phénomène qui s’avère d’autant plus important sur les zones de captage d’eau potable. Article de Clément Henri, sur PleinChamp, paru le 26 août 2020. 

GrandLyon Habitat expérimente avec  Place au Terreau, une zone dédiée au maraîchage urbain à Lyon 8^e, au cœur des résidences Eugène André et Paul Cazeneuve. Ce projet innovant et précurseur sur la Métropole de Lyon comporte 600 m² de parcelles dédiés aux légumes bios, un jardin permacole et des lombri-composteurs.

L'île aux fruits, association animée par une poignée d'amiénois engagés, a fait le pari de mettre à profit les hortillonnages de la ville afin d'établir des circuits courts d'alimentation. Avec un marché local, une ferme pédagogique, un food-truck, une cuisine, et un service de commande de paniers de légumes en ligne, ce projet a su tirer avantage de sa ville en innovant pour le retour de la nature par le biais de l'alimentation locale et bio.

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L'initiative « Entreprises engagées pour la nature- act4nature France » a pour ambition d'engager les entreprises en faveur de la biodiversité. Elle vise à faire émerger, reconnaître et valoriser des plans d'actions de structures qui, indirectement ou directement, ont un impact majeur sur la biodiversité tout en étant dépendantes d'un certain nombre de services rendus par la nature.

Le ministère de la cohésion des territoires (sous-direction de l'aménagement durable), l'ANCT, le PUCA, et la Fondation de France ont participé au financement d'une l'étude-action réalisée par l'Atelier Approche.s ! sur l'urbanisme transitoire. 

Une feuille, bien seule, emportée par une bourrasque, qui tombe dans une rue déserte... Ainsi s'ouvre la BD avec comme texte « La crise du Covid-19 nous a rappelé, de façon tragique, que l'être humain n'est pas invincible » : première vérité qui conduira à la nécessité et désirabilité de la résilience alimentaire, le tout dans une atmosphère poétique accueillante, et avec concision, clarté et humour. Très vite, la vocation pédagogique en devient évidente. 

Cette année, le Forum de la Météo et du Climat organise pour sa 17ème édition un colloque international sur « Le Changement climatique : Anticiper pour s'adapter », le 30 septembre 2020 à la Sorbonne, à l'occasion de la semaine européenne du développement durable. Ce colloque part du constat selon lequel les conséquences du changement climatique sont déjà visibles, en témoigne la canicule record de cet été, et vont s'aggraver tout en devenant notre quotidien. Il s'agit alors de se préparer de la meilleure des façons.

Une étude danoise de 2019, menée par Kristine Engemann et son équipe de l'université d'Aarhus, explore l'impact des espaces verts en ville sur la santé mentale des enfants et adultes. Alors qu'avant l'état de la recherche ne suggérait qu'un lien flou, cette étude confirme scientifiquement cette corrélation et encourage la réintroduction d'espaces naturels, récréatifs ou productifs, en milieu urbain. Avec déjà 50% de la population mondiale vivant en ville, ainsi qu'une urbanisation continue, ces conclusions sont décisives pour la santé et la qualité de vie humaines.

Le co-jardinage est une autre façon de partager sa passion et se rendre service, entre voisins. Il s'agit de partager les récoltes potagères et les savoir-faire, tout en créant du lien social. Le co-jardinage est basé sur une relation de confiance,  entre des propriétaires de terrains et des jardiniers qui rêvent de cultiver un potager.