Végépolys Valley a labellisé et accompagné 106 projets en 2024

Le Pôle a pour mission d'accompagner des acteurs du végétal dans leurs démarches d’innovation ( photo Vif System)

Végépolys Valley* a convié ses 675 adhérents à l’occasion de son Assemblée Générale, le 3 juin 2025. L’opportunité pour le Pôle de compétitivité mondial du végétal de dresser son bilan 2024. Il conforte son rôle d’acteur de poids dans la chaîne de valeur du végétal. Il dresse une perspective vers les opportunités et métiers d'avenir.

Au cours de l'année 2024, l'organisation a labellisé ou accompagné 106 projets de R&D, pour un budget de 209 M€. Pour accompagner la transition des systèmes agricoles et horticoles, le Pôle a également conduit une étude prospective consacrée aux compétences et aux métiers d’avenir de la chaîne de valeur du végétal.

Un pôle qui rayonne sur l’ensemble de la France

Quatrième pôle de compétitivité français en nombre d’adhérents, Végépolys Valley a maintenu sa dynamique en 2024 : son réseau est aujourd’hui composé de 675 acteurs des filières végétales et horticoles (contre 645 l’année précédente), dont 80% d’entreprises (parmi lesquelles 70% de TPE et PME).
Le Pôle conforte par ailleurs son rayonnement sur l’ensemble de l’hexagone : si la majeure partie de ses adhérents est ancrée dans quatre régions historiques (43% en Pays de la Loire, 15% en AURA, 11% en Centre-Val de Loire et 8% en Bretagne), 23% sont implantées sur d’autres territoires. Pour Flavie Delattre, présidente du pôle : “La chaîne de valeur du végétal est confrontée à trois grands défis : des tensions géopolitiques croissantes, les effets de plus en plus concrets du dérèglement climatique et l’essor de l’IA qui transforme nos manières de travailler. Grâce à la force de son réseau, Végépolys Valley accompagne la transition de cette filière d’excellence qui joue un rôle essentiel pour garantir notre souveraineté économique et alimentaire. Notre capacité à rassembler autour de projets innovants sera l’une des clés pour faire évoluer nos modèles agricoles et horticoles vers des pratiques plus résilientes et durables.”