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Les jardins ouvriers et familiaux : le début de l'agriculture urbaine

thumbnail_IMG_20220203_132323 Le code rural donne un cadre légal aux jardins familiaux tels que définis par la loi du 26 juillet 1952, et précise que leur gestion est confiée à des associations loi 1901

Les jardins ouvriers, créés en 1896 par l’abbé Jules-Auguste Lemire (1853-1928), à l’époque député-maire chrétien d’Hazebrouck en Flandre Française (Nord) ont eu pour objectif d'améliorer la situation des ouvriers grâce à la mise à disposition d'une parcelle par les municipalités, destinée aux cultures potagères. Ils sont aujourd'hui près de 135 000 adhérents, fédérés par le Conseil national des jardins collectifs et familiaux. Un brin d'histoire...

Véritable engagement politique, ces jardins ont pour vocation d'améliorer la condition des familles ouvrières pour satisfaire leurs besoins alimentaires mais également au niveau social.

L’abbé Lemire : "S’ils permettent aux ouvriers d’échapper à leur taudis en profitant d’un air plus respirable,
ils les éloignent aussi des cabarets et encouragent les activités familiales au sein de ces espaces verts".

Avant l'abbé Lemire, c'est Félicie Hervieu, proche de la démocratie chrétienne, intéressée davantage par les innovations sociales destinées à améliorer le quotidien des ouvriers que par la charité chrétienne, qui va créer les premiers jardins ouvriers à Sedan en 1893, dirigés par des femmes.

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