L'Adivet élargit son spectre d'action aux infrastructures urbaines
Créée en 2002 par les acteurs de la végétalisation des toitures-terrasses, l'Adivet s'est ouverte ensuite aux terrasses-jardins puis aux façades. Aujourd'hui, elle agrandit son périmètre pour embrasser l'ensemble de l'îlot bâti et des infrastructures, en milieu urbain. Son identité visuelle évolue en même temps.
L'élargissement du périmètre d'action de l'Adivet ( voir notre dernier article) s'accompagne d'un changement de logo. "Avec l'évolution climatique et l'érosion de la biodiversité, tout spécialement prégnantes en ville, la végétalisation devient incontournable pour lutter contre les îlots de chaleur urbains, gérer les pics de pluviométrie et accueillir la biodiversité. Les villes étant très majoritairement minéralisées, il importe de mettre en œuvre des solutions opérationnelles et concrètes pour développer rapidement cette indispensable végétalisation", explique l'association.
C'est pourquoi l'Adivet a ouvert son champ, au-delà de son objet d'origine qu'est la végétalisation du bâti, aux infrastructures (dalles de parking, pieds d'immeubles, voies de tram, abribus…), car le verdissement de celles-ci répond aux mêmes enjeux, les acteurs sont souvent les mêmes et les services écosystémiques sont similaires."
Objectifs identiques
Ses objectifs et missions restent les mêmes mais étendus : promouvoir la végétalisation de l'îlot bâti et des infrastructures urbaines en veillant aux bonnes pratiques et aux respects des règles de l'art, communiquer sur ses bénéfices auprès des pouvoirs publics, des donneurs d'ordre et des acteurs de l'acte de construire pour assurer le développement des techniques actuelles et à venir.