Désertificialiser et renaturer les villes : un potentiel immense
Les initiatives ponctuelles se multiplient en France mais ont encore du mal à se généraliser. Est-ce en raison d’un manque d’outil pour quantifier le gisement, de coûts trop élevés, de manque de connaissances scientifiques sur la renaturation, d’un manque d’audace…? Peut-on s’appuyer sur une politique de désimperméabilisation et de renaturation pour atteindre le « zéro artificialisation nette » ? Comment mettre en œuvre une stratégie de renaturation cohérente au regard des autres enjeux environnementaux (continuités écologiques, canicule, gestion de l’eau, carences en espaces verts, résilience face aux risques naturels). Sous quelles formes peuvent s’incarner les initiatives de renaturation et à quelles échelles ?
Les intervenants
Guillaume Lemoine : ingénieur écologue - Établissement public foncier des Hauts-de-France
Marie Verrot : cheffe de projet Développement durable ; Flore Gaignard : directrice de projets ; Fabrice Cabrejas : directeur d'agence - Nexity
Sébastien Derieux : chargé d’opérations - Agence de l’eau Seine-Normandie
Delphine Chalumeau : chargée de projets et développement - Centre d’Écologie urbaine de Montréal
Xavier Marié : directeur, Sol Paysage
Atelier animé par Frédéric Denhez, journaliste spécialiste de l'environnement.