La mise en place du LAB 3S Sols, Savoirs, Saveurs, avec plusieurs partenaires sur le Campus de l’innovation de l’IRD* de Bondy ( Seine-Saint-Denis) illustre la possibilité pour un territoire d’inventer des solutions nouvelles, autour de l’agriculture urbaine et l’alimentation durable. La ville s’engage pleinement dans cette démarche.
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Social & santé, Ressources & recyclage, High-tech & innovation, Fermes urbaines, Biodiversité & végétalisation, Architecture & bâtiments, Alimentation & circuits courtsLa start-up Agrove, créée en août 2019 à Aix-en-Provence, veut démocratiser l’agriculture urbaine. Elle a développé une jardinière connectée et son application mobile pour faciliter la vie des jardiniers en ville. A l’aide de capteurs, Agrove détecte le microclimat propre à chaque environnement urbain et propose les variétés de plante à cultiver en fonction des paramètres. Elle lance, ce 1er juin 2020 une campagne de financement participatif sur Ulule pour commercialiser ses premiers kits.
Dans le cadre de la Journée internationale de la biodiversité biologique organisée par l’ONU ce 22 mai 2020, l’Office français de la biodiversité (OFB) rappelle le rôle essentiel de chaque citoyen dans la préservation de nos écosystèmes.
Dans ses fermes-verticales, Futura Gaïa développe un nouveau mode de production. La start-up gardoise a annoncé le 18 mai avoir bouclé une première levée de fonds de 2,5 M€. Sa première ferme-pilote sera installée cet automne à Tarascon.
Et si, depuis la crise sanitaire, les Français plébiscitaient les circuits courts ? La sociologue économiste Yuna Chiffoleau livre les premières conclusions d’une vaste enquête, sur France Inter.
Ce 20 mai est la journée mondiale des abeilles. Pour célébrer l’insecte le plus important de notre écosystème, Ronan de Kervénoaël, PDG et fondateur d’Apiterra, qui installe des ruches sur les toits d’entreprises est interviewé dans la revue de la BPI.
La Commission européenne a adopté ce 20 mai 2020 une nouvelle stratégie globale en faveur de la biodiversité afin de "ramener la nature dans nos vies", ainsi qu'une stratégie "De la ferme à la table" visant à mettre en place un système alimentaire juste, sain et respectueux de l'environnement. Les deux stratégies se renforcent et tissent "les liens entre nature, agriculteurs, entreprises et consommateurs pour construire conjointement un avenir compétitivement durable".
Créé en 2001, le Concours National des Jardins Potagers est organisé conjointement par la FNJFC (Fédération Nationale des Jardins Familiaux et Collectifs), la SNHF (Société Nationale d'Horticulture de France), l’Association JARDINOT et le GNIS (Groupement National Interprofessionnel des Semences et des plants). Il récompense des potagers remarquables au niveau de la diversité des espèces et des variétés cultivées, des pratiques de jardinage et de l’esthétisme du jardin.
Les administrateurs de la FNMJ ont souhaité faire un don de 100 000 masques à la plateforme nationale du ministère de la Santé qui se chargera ensuite de les redistribuer aux secteurs en tension. Depuis le début de la crise, la fédération se mobilise pour aider et accompagner tous ses adhérents et veut faire aussi un geste pour celles et ceux qui continuent de se battre contre l'épidemie.
Depuis 2010, le concours Capitale française de la Biodiversité identifie, valorise et diffuse les meilleures actions des communes et intercommunalités françaises en faveur de la biodiversité. En 2019, le dispositif de reconnaissance "Territoires engagés pour la nature" à commencer de reconnaître l’engagement pour l’avenir des communes et intercommunalités dans les régions qui animent ce dispositif national.
Depuis 2001, Timberland a soutenu la plantation de plus de 10,2 millions d'arbres dans le monde et s'est engagé à en planter 50 millions de plus d’ici 2025. La marque s’engage désormais également à faciliter l'accès des populations urbaines, et plus particulièrement des enfants vivant dans les villes, aux espaces verts. Afin de mener à bien ce projet, l'entreprise s'est associés à la Fondation Roi Baudouin pour soutenir la création, le maintien des espaces verts et l'agriculture urbaine dans la métrople du Grand Paris.
Le parc à thème sur le végétal fête cette année ses 10 ans. Terra Botanica, situé à Angers va rouvrir en France avec L’Oasis, une des plus grande structure en bambous d’Europe.
Toujours dans l’esprit du bien-être par et pour les plantes, Merci Raymond lance une nouvelle offre, post confinement. La jeune entreprise propose de racheter – geste symbolique - les plantes qui ont été abandonnées et de leur redonner une seconde vie. L’hôpital des plantes est né.
Tandis que les prises de conscience émergent quant à l'importance des productions locales, et alors que les Français se déconfinent peu à peu, Ipsos dévoile les chiffres de sa dernière étude* menée avec AgriAvis et dresse le bilan des préoccupations de ces agriculteurs qui ont permis une continuité de la production sur tout le territoire. Si les agriculteurs expriment leur fierté du travail effectué, ces conditions très singulières de travail ont rendu ces dernières semaines moralement éprouvante : ils sont 45% à se sentir particulièrement isolés, alors qu’ils doivent faire face à un renforcement de leur activité, et à des contraintes de production et de distribution inédites.
Après le succès de la première séance, une nouvelle diffusion du film La Terre Vue du Cœur est prévue le 22 mai, à l'occasion de la Journée mondiale de la Biodiversité. Cette séance virtuelle sera présentée par Hubert Reeves.
A l’occasion de la crise du Covid-19, Sofia de Meyer écrit "A notre portée", un essai en libre accès pour montrer que cette «pandémie est une opportunité pour évoluer vers une société plus paisible, plus en harmonie avec notre environnement». Mais est-ce vraiment possible? Et comment?
Le Salon international de l’agriculture 2020 a marqué le lancement officiel du projet Né d’une seule ferme. L’enthousiasme des éleveurs et des visiteurs-consommacteurs a convaincu la strat-up de la pertinence de son offre de services et la crise sanitaire la renforce. Il s'agit d'installer des "micro-laiteries" dans les fermes afin que les éleveurs créent leur yaourts, essentiellement. Près de 100 éleveur, dans toute la France sont déjà prêts à intégrer le système.