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Peu de chiffres existent sur l'agriculture urbaine que ce soit sur le nombre de structures existantes ou sur les modèles économiques des fermes, et pourtant ce secteur est en pleine structuration... Ce baromètre, qui rassemble des chiffres à l'échelle française mais aussi mondiale, est le fruit de notre travail constant de veille sur ce sujet.

Comment définir l'agriculture urbaine ? Pour le Conseil Economique, Social et Environnemental - CESE il s'agit de "Tout acte maîtrisant un cycle végétal ou animal se déroulant en milieu intra-urbain (sur ou dans des bâtiments, des sous-sols ou en pleine terre dans des espaces interstitiels) et faisant le lien avec l'agriculture périurbaine et rurale qui se développe sur les mêmes bassins de vie". Cette définition peut être complétée par la typologie du ministère de l'Agriculture, qui la catégorise selon les différentes modalités de culture et selon l'activité économique et sociale dominante. 

Les tendances en France

Les 250 structures référencées dans notre annuaire des acteurs de l'agriculture urbaine nous ont permis d'extraire des grandes tendances sur les activités principales, spécialités, forme juridique, année de création, et localisation de ceux-ci. Elles ont enrichi celles révélées par les rares études déjà publiées sur le sujet.
Les structures d'agriculture urbaine sont trés majoritairement des associations ou des SAS, 50% des agriculteurs urbains professionnels ont moins de 40 ans,  seuls 30% sont des producteurs tirant leur revenu principal de l'activité agricole, 44% cultivent en pleine terre, les autres pratiquant l'hydroponie, l'aéroponie ou l'aquaponie... Les lauréats de l'appel à projets "Quartiers fertiles" (ANRU) produisent pour plus de 65% des légumes et pour près de 50% des petits fruits, les autres productions étant loin derrière. 

Une étude approfondie de la façon dont les grandes villes françaises appréhendent le sujet de l'agriculture urbaine révèle que celles-ci s'y intéressent de plus en plus et investissent. C'est le cas de la Métropole du Grand Paris, qui avec 1 exploitation agricole pour 74000 habitants (contre 1 pour 128 en moyenne en France) oeuvre en faveur du retour de l'agriculture sur son territoire (comme en témoigne notamment l'appel à projet "Parisculteurs" pour la ville de Paris). C'est aussi le cas des métropoles comme Lyon, Bordeaux, Marseille, ou encore Rennes, Lille, Nantes qui ont toutes des terres agricoles et des exploitations sur leur territoire et qui agissent pour que cette activité de production soit préservée, augmentée et surtout destinée à leurs habitants.

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